La Cour suprême ratifie la possibilité d’appliquer la réduction de 95% de la taxe sur les successions et les donations

La Cour suprême confirme les héritiers d’une entreprise familiale peut accéder au remboursement de 95 pour cent des droits de succession. À cet égard, le critère de la tombe des finances, qui exigeait que les personnes concernées étaient des membres de la société d’accès à l’escompte.

La Cour a rendu un nouvel arrêt du 14 Juillet 2016, en plus au 26 mai 2016. Les deux échecs estiment les actions intentées par deux sœurs à la fois contre le rejet des finances de la Communauté de Madrid et la Cour supérieure de Madrid- application du remboursement de 95 pour cent sur la valeur de l’entreprise familiale pour calculer l’impôt sur les successions imposables sur l’héritage de sa mère.

« Nulle part est nécessaire que la personne imposable, avant l’accumulation de la taxe, doit détenir un titre différent qui se produit avec la succession héréditaire », dit la décision. « Le fait que la société, les affaires ou les actions qui sont héritées doivent bénéficier d’une exemption d’impôt sur le capital, montre que l’équité doit être la cause, bien que, comme il est logique, à conséquence de la mort, et par la suite, l’exigence est fournie à l’héritier, par lui-même ou en conjonction avec d’autres « , at-il ajouté.

Le gouvernement central, par le procureur de l’Etat et l’avocat de la Communauté de Madrid, a nié le bonus, précisaient pas que les filles du défunt étaient détenteurs d’actions de la société au moment de la comptabilité d’exercice et donc ne fait pas partie du groupe familier. Toutefois, les États suprême pour profiter du crédit d’impôt n’est pas nécessaire de tenir une certaine équité.

Juge Martinez Micó, rapporteur des phrases, explique que « dans la mesure où la société, le partenariat ou la participation bénéficient d’une exonération d’impôt sur le capital, le transfert par héritage de la même ou les actions qui sont affichées seront une réduction de 95 pour cent sur l’héritage de revenu imposable et le don de l’acquéreur lorsque celui-ci est dans le domaine subjectif du groupe de parenté défini par la loi ».

Le cas spécifique étudié la transmission par héritage d’actions dans une entreprise familiale aux deux filles et le mari de la personne décédée, les deux sœurs qui exercent des fonctions et des performances à long gestion qu’ils perçoivent est de 100 pour cent de leur annuelle, ainsi que le revenu est de 100 pour cent des actions de la famille. Avant la mort du défunt, le défunt avait, avec son mari, 100 pour cent des actions de l’entreprise familiale, exonérée de l’impôt sur la fortune. Une fois produit, les deux filles et le veuf encore 100 pour cent affichant des actions, les deux filles qui gèrent.

« De toute évidence, il est le cours de transmission le plus typique de la famille aux enfants et veuf du défunt, étant pour de tels cas pour lesquels les avantages fiscaux sont destinés à encourager une telle société de transport, » les échecs de point suprême. La Cour relève que cette mesure permettrait d’éviter ainsi une éventuelle fermeture de l’entreprise familiale pour le paiement de l’impôt sur les successions.

 

Ce message est également disponible en: Espagnol Anglais